Je suis naturellement très libre de ma nudité et de mon corps, je dissocie même facilement le naturisme, le nudisme, de l'exhibition au grand air, des étalages de viande, parce que je tiens à la discrétion néanmoins , dans l'intimité j'ai appris à me laisser voir et exhiber, examiner, scruter...admirer...
Le jour où la première fois j'ai été rasée intégralement, A ne me laissa pas épilée et nue sans une petite séance d'initiation, c'est ce que vous aviez deviné?
Il me força à rester les cuisses écartées, renversée sur le dos, puis à genoux, sur le sol, les fesses pointées et le sexe ouvert qui, malgré ma gène ou à cause d'elle, commençait à mouiller.
Et lui trouvait ça très excitant et agréable, il faisait durer la chose en écartant les lèvres, en les touchant, en glissant le doigt vers le clitoris.
"Mais tu aimes ça, avoue, tu adores te montrer et t'exhiber".
je refusais de répondre.
Je voulais qu'il me prenne.
Mais pour lui, il n'en était pas question, tant que je n'avais pas avoué que j'adorais être sa chose et que j'adorais me montrer nue, les cuisses offertes au regard, à son regard et aussi à celui d'un autre qu'il viendrait chercher un jour. Il me montrerait ainsi, de dos, les jambes écartées, à l'homme de son choix et j'adorerais ça, c'est ce qu'il me chuchotait à l'oreille et il voulait que je lui dise oui, que je prendrais plaisir avec un inconnu à exhiber mon intimité, et même s'il avait raison, je refusais de lui dire oui.
Seulement j'étais très excitée et lui savait me faire monter le désir, et à force de trouble et d'envie, je cédais.
Il me prit en levrette en continuant à me raconter ce qu'il me ferait faire si un homme de son choix arrivait si j'étais nue et rasée intégralement, à quatre pattes, les fesses offertes...en me glissant dans l'oreille tout ceci, et me forçant à lui répondre que oui, je ferais ce qu'il demande, oui, j'adorais être nue et à disposition et que oui, jétais exhib...
Ce soir-là, j'ai pris un pied pas possible.
A très bientôt pour la suite
Le jour où la première fois j'ai été rasée intégralement, A ne me laissa pas épilée et nue sans une petite séance d'initiation, c'est ce que vous aviez deviné?
Il me força à rester les cuisses écartées, renversée sur le dos, puis à genoux, sur le sol, les fesses pointées et le sexe ouvert qui, malgré ma gène ou à cause d'elle, commençait à mouiller.
Et lui trouvait ça très excitant et agréable, il faisait durer la chose en écartant les lèvres, en les touchant, en glissant le doigt vers le clitoris.
"Mais tu aimes ça, avoue, tu adores te montrer et t'exhiber".
je refusais de répondre.
Je voulais qu'il me prenne.
Mais pour lui, il n'en était pas question, tant que je n'avais pas avoué que j'adorais être sa chose et que j'adorais me montrer nue, les cuisses offertes au regard, à son regard et aussi à celui d'un autre qu'il viendrait chercher un jour. Il me montrerait ainsi, de dos, les jambes écartées, à l'homme de son choix et j'adorerais ça, c'est ce qu'il me chuchotait à l'oreille et il voulait que je lui dise oui, que je prendrais plaisir avec un inconnu à exhiber mon intimité, et même s'il avait raison, je refusais de lui dire oui.
Seulement j'étais très excitée et lui savait me faire monter le désir, et à force de trouble et d'envie, je cédais.
Il me prit en levrette en continuant à me raconter ce qu'il me ferait faire si un homme de son choix arrivait si j'étais nue et rasée intégralement, à quatre pattes, les fesses offertes...en me glissant dans l'oreille tout ceci, et me forçant à lui répondre que oui, je ferais ce qu'il demande, oui, j'adorais être nue et à disposition et que oui, jétais exhib...
Ce soir-là, j'ai pris un pied pas possible.
A très bientôt pour la suite
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