vendredi 3 juillet 2015

Exhibition privée : épilation intégrale, la fin.

Je suis naturellement très libre de ma nudité et de mon corps, je dissocie même facilement le naturisme, le nudisme, de l'exhibition au grand air, des étalages de viande, parce que je tiens à la discrétion néanmoins , dans l'intimité j'ai appris à me laisser voir et exhiber, examiner, scruter...admirer...

Le jour où la première fois j'ai été rasée intégralement, A ne me laissa pas épilée et nue sans une petite séance d'initiation, c'est ce que vous aviez deviné?

Il me força à rester les cuisses écartées, renversée sur le dos, puis à genoux, sur le sol, les fesses pointées et le sexe ouvert qui, malgré ma gène ou à cause d'elle, commençait à mouiller.
Et lui trouvait ça très excitant et agréable, il faisait durer la chose en écartant les lèvres, en les touchant, en glissant le doigt vers le clitoris.

"Mais tu aimes ça, avoue, tu adores te montrer et t'exhiber".
je refusais de répondre.
Je voulais qu'il me prenne.
Mais pour lui, il n'en était pas question, tant que je n'avais pas avoué que j'adorais être sa chose et que j'adorais me montrer nue, les cuisses offertes au regard, à son regard et aussi à celui d'un autre qu'il viendrait chercher un jour. Il me montrerait ainsi, de dos, les jambes écartées, à l'homme de son choix et j'adorerais ça, c'est ce qu'il me chuchotait à l'oreille et il voulait que je lui dise oui, que je prendrais plaisir avec un inconnu à exhiber mon intimité, et même s'il avait raison, je refusais de lui dire oui.
Seulement j'étais très excitée et lui savait me faire monter le désir, et à force de trouble et d'envie, je cédais.
Il me prit en levrette en continuant à me raconter ce qu'il me ferait faire si un homme de son choix arrivait si j'étais nue et rasée intégralement, à quatre pattes, les fesses offertes...en me glissant dans l'oreille tout ceci, et me forçant à lui répondre que oui, je ferais ce qu'il demande, oui, j'adorais être nue et à disposition et que oui, jétais exhib...
Ce soir-là, j'ai pris un pied pas possible.

A très bientôt pour la suite

La bisexualité

J'aime les femmes, je suis clairement hétérosexuelle tendance bi.
J'ai découvert ma sexualité vers 12 ans, j'ai eu des formes très tôt.
Mais j'ai découvert ma bisexualité vers 15 ans, dans des rêves érotiques. Qu'est-ce qui m'a attirée vers les femmes? Je n'ai aucune réelle réponse, je crois qu'on est bi parce que c'est comme cela.
Au lycée, j'avais une copine très tactile, qui m'enlaçait souvent la taille et les épaules et on se promenait ainsi. Cela me troublait mais je n'osait faire le premier pas.
Dès que l'on devient étudiant, les occasions de sortir et d'expérimenter deviennent très fréquentes.

Un soir, j'étais dans un night club gay mixte, c'est à dire qu'il y avait des hétéros, des bi, des homos hommes et femmes.
On s'amusait avec un jeu assez coquin, mais léger, une personne était au milieu d'une ronde et devait choisir une autre personne et celle ou celui choisi se laissait embrasser sur la bouche, un vrai baiser... Certains jouaient le jeu, d'autres non.
J'avais déjà couché grâce à ce jeu avec quelques hommes, la simplicité et la franchise qui régnait au niveau sexualité dans les boites gay favorisaient les aventures d'un soir.
Mais cette fois-ci, ce fut une femme, une lesbienne, qui me choisit.
Ce n'était pas la plus moche, elle était féminine même si toujours en jeans, la coupe au carré, mince, un visage étroit mais quand même avenant. Je décidais donc de me laisser embrasser.
Rien ne se passa. Je n'en éprouvais aucun plaisir.
Certaines personnes croient que quand on est bisexuel, ou même gay, on ne choisirait pas et on se jetterait sur toutes les personnes qui passent. C'est faux, je crois même qu'on est bien plus exigeant au niveau du choix de nos partenaires, nos critères ne sont pas forcément physiques d'ailleurs. Mais j'y reviendrai.

Je me retrouvais donc au milieu de la ronde et j'avais remarqué une petite nana très menue, les cheveux courts, avec un visage de chat, style Audrey Hepburn sans la minceur excessive. J'étais là, donc pourquoi ne pas en profiter et essayer, de plus, tout le monde m'avait vue embrasser une femme, alors, autant aller au bout.
J'étais délurée à ce moment mais très pudique néanmoins, une femme est souvent dans ses contradictions.
Je pris cette jeune nana par la main et l'embrassai.

La sensation ne fut pas du tout la même. Tout se mit à bouillir, les seins en feu, une poussée de désir sexuel quasiment animal. Elle répondait de même à mon baiser.
Nous avons passé la soirée ensemble mais rien d'autre ne se passa. J'étais trop pudique et elle aussi.

Quelques mois plus tard...
Je suis avec A.
J'ai toujours ces envies qui reviennent, ces pulsions et j'ai du mal à les lui cacher.
Très gênée un soir, je me lance en lui confiant que j'ai quelque chose de très difficile à avouer mais que je dois le lui dire, comme si c'était anormal.
Il a souri quand il a su ce que c'était, cette confession embarrassante.
"En quoi est-ce grave, que tu sois bi?"Pour lui, c'était même rassurant que je sois aussi ouverte dans mes fantasmes.

Ce fut lui qui me fit concrétiser avec des femmes les premières fois.
Mais ceci, je vous le raconterai dans le prochain billet...

mercredi 1 juillet 2015

épilation intégrale

Afin de continuer la suite de mes expériences, qui m'ont conduite à devenir sans tabou et libertine, puis vers l'escort, je vais vous raconter comment j'ai découvert la sensation d'être intégralement rasée , ce qu'on éprouve la première fois que l'on devient nue.

A m'en fit très tôt la demande.

Jusque là, je coupais les poils pubiens mais je n'avais pas songé ni même imaginé les raser, les épiler et ainsi découvrir les lèvres, l'entrée du vagin, et le repli qui abrite le clitoris.
Après l'avoir regardé de manière interrogative et ayant hésité, je lui dit oui. Il pouvait me raser à cet endroit.
Mais il prit son temps, doucement, pour pouvoir m'épiler entièrement. Il décida de quand, et comment, un certain temps se passa entre ma réponse et son action.

A est très doux et a un toucher très agréable, précis et organisé.
Pour se faire, il s'est muni d'un rasoir féminin, une mousse à raser et s'est installé dans le salon, avec une bassine, je crois qu'elle était bleue, la bassine et remplie d'eau chaude.
Il m'a demandé d'écarter les cuisses, c'est logique, on y voit mieux. Seulement, dans l'intimité, le fait d'écarter ces cuisses me fait toujours de l'effet et gonfler bien entendu le clitoris, ainsi qu'écarter les lèvres, bref j'étais déjà excitée avant qu'il ne me touche.
Il s'ajoute au fait d'ouvrir les cuisses et de voir le regard de son amant se poser entre celles-ci la sensation de l'air qui passe et caresse également le sexe.
Le pire, ou plutôt le meilleur est qu'il m'ordonna de les ouvrir plus, car il voulait voir aussi pour ne pas me blesser. Seulement  de constater que ces simple gestes et regards me faisaient mouiller le fit sourire en me disant que j'étais exhib et que cela lui faisait plaisir car il me montra également que son sexe réagissait à tout ceci.
Il posa ses mains sur moi. J'étais couchée sur le plancher, avec une serviette sous les reins et des coussins sur le dos, renversée et les cuisses ouvertes, il appuya celles-ci en les écartant encore plus, ce qui ajouta à mon trouble.
J'étais gênée, il faut l'admettre, cela ajoutait encore plus à l'effet que tout ceci me faisait.
Lorsqu'il commença à induire l'endroit de mousse à raser, il se rendit compte que l'endroit était très chaud et que je mouillais.
En aucun moment je ne fut coupée par le rasoir qu'il fit glisser sur le pubis, sur les côtés. Ces zones sont très érogènes chez moi et déjà, simplement les caresser me fait de l'effet. Puis le rasoir s'approcha de mes lèvres supérieures.
D'instinct, j'eus le réflexe de resserrer les jambes. Il m'en fit la remarque en me les écartant en grand, car il ne pouvait pas continuer à raser sans voir et sans avoir accès.
Les lames glissaient sur les lèvres et continuaient à enlever les poils, dévoilant mon sexe et m'excitant de plus belle. Il était ravi de constater que je mouillais.
Le rasoir passa vers la zone anale, avec la même sensation de plaisir .

Puis il essuya avec une serviette mon sexe mis à nu.
A ce moment, il me demanda de me relever, de me mettre sur les genoux, de lui tourner le dos et de lui montrer tout.
Il me laissa un moment dans cette position,  comme cela,  on  sent encore plus l'air frais entre ses cuisses, ce qui me fit gonfler et ouvrir encore plus le sexe.

Finalement il me tendit un miroir afin que je regarde à quoi ressemblait vraiment mon sexe. Il le trouvait très beau.

Je me sentais effectivement nue, ouverte, offerte, c'était curieux de se voir, surtout dans cet état, force était de constater que j'avais bien des tendances exhibitionnistes et de voyeur, vu que cette vision même si je m'en défendais mollement m'excitait encore plus...

Pour lui, c'était un test.
Un test d'obéissance et un test afin de voir aussi si je pouvais devenir sans tabou et surtout, libre de mes plaisirs.

Je dois vous laisser, sur ce, et vous laisse deviner comment s'est terminée la séance d'épilation intégrale.
J'ai d'autres occupations.
A très bientôt pour la suite des histoires....


mardi 30 juin 2015

Baiser aussi

Où en étions-nous?
Ah oui.

"Le jour prévu, à l'heure prévu, il était là, avec le véhicule et les bras, comme convenu...
J'ai donc constaté qu'un homme qui tient ses engagements, cela existe et il me confirmera plus tard que pour lui, c'est un principe de vie.
En fait, un homme qui tient parole,  finalement, c'est très sexy...
Il me confirmera en actes qu'effectivement, qu'il n'y a pas que ça de sexy chez lui..."

Comment les jours suivants, lui et moi, appelons-le A, qui ne nous étions vus que comme de futurs connaissances, voire des amis, nous nous sommes rapprochés, je ne sais exactement et je n'ai pas envie de le savoir, c'est un peu comme ouvrir une page internet au hasard et tomber sur une annonce.

Toujours est-il que nous avons pris un verre un soir, ensemble, dans un pub, aux boiseries et à l'atmosphère chaleureuse, et que nous avons passés la nuit ensemble, puis une autre...

Le sexe semblait simple avec lui, d'une certaine façon. Il venait en complément d'une amitié, d'un plaisir d'être ensemble. Il n'y avait ni prédateur ni dragueur en lui. Il était à l'écoute de mon corps et j'apprenais à être à l'écoute du sien.
Moi qui me croyais, forte de mes quelques expériences sexuelles, délurée, je me retrouvais comme vierge.

Je vais donner un exemple:
j'avais eu une liaison avec un de mes professeurs, appelons-le, M, une de ces relations tabou entre un mineur et un majeur, ce qui semble excitant car caché, et aussi très gratifiant pour la gamine que j'étais qu'un homme de presque 30 ans craque sur une gamine de 15. 
J'adorais le sexe avec lui, cela enflammait littéralement tout mon corps, ce qui est très fréquent lorsqu'on est au début de sa sexualité et j'étais en fait très passive. J'étais juste victime consentante.
Pourtant, il me demanda , cet homme, de le sucer. Il me colla son sexe sur la bouche, m'ouvrit celle-ci et m'intima de le sucer, manger, de l'engloutir. 
J'ai détesté.
J'avoue que maintenant j'adore la fellation. J'avoue sans fard. Maintenant, le fait de songer à manger, engloutir, lécher, sucer, me faire posséder la bouche, cela aura tendance à  me faire sérieusement de l'effet.

Mais avec M, j'ai détesté, ça m'étouffais, c'était violent, dès que je songeais à enlever ce truc de ma bouche, il me le remettait manu militari, il me violait la bouche, dans le mauvais sens du terme.
Il est vrai que certains hommes, tout occupés à leur plaisir, sont du genre à vous enfoncer leur sexe au fond de la gorge, de manière à vous empêcher de respirer, pour tout dire, ils s'en fichent.

Avec lui,A, il est évident qu'il m'a demandé si je pratiquais la fellation.
Je lui ai répondu avec franchise que oui, mais que cela ne m'avait pas plu et que cela ne m'apportait rien mais que je pouvais le lui faire, si cela lui faisait plaisir.
Il m'a regardé et j'ai vu qu'il oscillait entre l'interrogation et le rire.
En premier lieu, il ne comprenait pas qu'une femme ne pouvait pas prendre du plaisir à l'acte de sucer. Toutes les femmes qu'il avait connues, à part les frigides, y avaient pris du plaisir.
Et en lui expliquant comment avec M et d'autres cela s'était passé, car les autres n'étaient guère plus doués, il commença à comprendre. 
Personne ne m'avait appris à aimer faire une fellation car aucun homme avec qui j'avais été n'avait pris le temps de m'expliquer comment faire.

En fait,il ne fourre pas le sexe dans ma bouche, c'est lui qui fait assez confiance en sa partenaire pour lui offrir son sexe, il le met à disposition  et j'en prend possession... pour son plaisir, ce qui par rebond fait qu'une fellation est délicieuse pour lui, et surtout pour moi.
 Il y a ensuite le jeu d'appréhender ce sexe, de le parcourir avec la bouche, la langue, le palais, le caresser et d'en faire ce qu'on en a envie, de le sentir vibrer et ce plaisir se partage.
Naturellement les rôles s'échangent.
Autant, je prend plaisir à posséder ce sexe, autant je finis par prendre mon pied à me faire littéralement baiser par la bouche. Je le sens coulisser entre ma langue et mon palais et me rends compte que j'étais en train de perdre ma virginité à ce moment à cet endroit. Décidément j'avais tout à découvrir réellement.

Et ce n'est que le début...

lundi 29 juin 2015

Seulement des fantasmes...



J'ai 18 ans et des poussières, dans ma chambre  d'étudiante, il n'y a qu'un lit une place et je viens de mettre dehors un jeune homme. Lassée de tout ça, des soirées fugitives où il est tellement facile de coucher avec un homme qui ne viendra pas plus tard, on le sait. Parfois, il y a les mecs qui mentent juste pour avoir une relation alors qu'on ne leur demande pas la fidélité, on s'en fout, on papillonne.
On cherche des aventures plus piquantes, du sexe plus exigeant.

Bien sûr, il y a des films qui font filer les fantasmes, ces fantasmes l qui paraissent maintenant mignons à la femme que je suis devenue, mais qui excitent la jeune fille. Comme 9 semaines et demi, où les fantasmes bi surgissent avec la plastique de Kim Basinger, comme Sexe, Mensonges et Vidéo, même et surtout Emmanuelle...Curieusement, Pretty Woman ne m'a jamais fait voyager.
Il y a aussi les personnages de femme libre, comme Mata Hari, Madame de Pompadour, en fait, les hommes matures m'ont toujours attiré autant que leur histoire. Le personnage de la courtisane, je le voyais plus comme une manière de connaitre les hommes.

J'ai 18 ans et des poussières.
Je suis avec mon copain, nous venons de dîner ensemble, du mac do en salade ramené en sortie des cours, pour la énième fois, après le soda, il me prend dans ses bras, commence à me caresser, prend ma main, la pose sur son sexe, de son côté, pensant que je suis assez mouillée, finit de me déshabiller et me pénètre, tout concentré sur son plaisir et sa performance, persuadé que si il aime, j'aime...et je le trouve curieux, ce regard, qui vise son sexe entre mes jambes et ignore si j'ai un début d'orgasme.

La férue d'histoire ne peut accepter que ce soit ça, qui ait fait construire et s’effondrer des empires, de Cléopâtre à la Montespan, de la Marquise de Corneille, de l'Hélène de Troyes ou de Ronsard...
Chez les hommes, où étaient les Casanova, les Sade etc...
Je ne demandais pas un chef d'orchestre mais au moins un bon musicien qui aurait eu  un peu de respect pour l'instrument qui était entre ses mains, au moins me faire vibrer...Je ne me prétendais pas un Stradivarius mais tout de même...

Il a pris ses affaires et il est parti, c'est facile de montrer la sortie finalement. Le lit une place est devenu vaste.

Je décidais donc de prendre ma vie sexuelle en main, ce que je trouvais énorme comme décision, mais qui était en fait un bien grand mot et décidait de dire aux hommes ce que j'attendais d'eux.
Avec le recul , je crois que je suis rentrée un peu vite dans le vif du sujet.

J'aimais beaucoup aller dans des clubs privés gays, j'en connaissais certains, j'avais constaté que mes amis avaient l'esprit bien plus ouverts,  envers les bi en particulier, car on pouvait discuter avec des hommes sans tomber dans la drague lourde et choisir ouvertement un amant d'un soir.
J'y rencontre un soir un steward, un jeune homme qui a voyagé donc je le pensais ouvert d'esprit.
J'accepte ses avances et je le traîne chez lui, on voyait l'aéroport de ses fenêtres, je croyais donc que c'était de bonne augure...
Il avait des peignoirs pour la douche, et il m'a pris l'envie d'enlever les ceintures afin de jouer avec, attacher, s'attacher , l'un ou l'autre, voir si c'était plus piquant de faire l'amour en étant entravés.
Je lui ai donc fait cette proposition. Mal m'en a pris. En guise de montée au septième ciel, j'ai eu un regard horrifié, comme si j'était une dingue,qu'il convenait d'entraver pour autre chose, je l'avais sévèrement choqué et déstabilisé, ce brave garçon...je vous laisse imaginer que le baptême de l'air fut court.
Non seulement il était coincé mais en plus doublé d'un goujat, vu que l'histoire fit le tour de ses copains qui pour certains le trouvèrent bizarre et pour le moins abruti.

Le mythe de l'amant imaginatif et aventurier prit une certain coup dans l'aile et l'espoir de  vivre mes fantasmes s'éloigna un peu plus.
Je vivais donc des aventures au jour le jour sans vraiment calculer mes envies, explorer mes fantasmes sauf dans mes rêves érotiques...

Un jour alors que je changeais d'appartement, cherchant des bras pour m'aider, je croisais une connaissance à qui je demande de l'aide. Il me répond qu'un de ses amis qui a la possibilité d'avoir un fourgon pourrait surement m'aider et qu'il  avait rendez-vous avec lui le soir même, me disant d'être là aussi.
Comme convenu le soir, je me rends à la terrasse de ce café, lieu du rendez-vous et effectivement son ami était là.

Il rentrait de vacances, de la région des grands vins bordelais et du naturisme, mais cela, je l'apprend plus tard. Grand, mince, la trentaine, très calme et sympathique, ce n'est pas son apparence très agréable et sexy qui m'attire chez lui, c'est son esprit, ce qu'il dégage, son charme. Je me rends compte bien plus tard qu'il fait partie des  hommes beaux, un détail en somme. Lui menait d'ailleurs des relations avec plusieurs femmes en même temps et au grand jour. Elles se connaissaient toutes et étaient toutes au courant.
Plutôt rare comme comportement.
Il pensait qu'une femme a le droit de savoir et qu'on n'a pas à la protéger, ou la promener et qu'elle doit choisir en toute connaissance de cause. C'était son fonctionnement et ça marchait plutôt bien pour lui. Aucune femme ne l'avait quittée, bien au contraire.
Mais on était loin de tout ça, ce soir-là.

Ce soir-là, nous nous mettons d'accord pour déménager, l'heure et la date, et il s'engage à venir avec un fourgon et des bras...
Au vu de certaines expériences, je ne l'ai cru qu'à moitié, en me disant, on verra bien.
Le jour prévu, à l'heure prévu, il était là, avec le véhicule et les bras, comme convenu...
J'ai donc constaté qu'un homme qui tient ses engagements, cela existe et il me confirmera plus tard que pour lui, c'est un principe de vie.
En fait, un homme qui tient parole,  finalement, c'est très sexy...
Il me confirmera en actes qu'effectivement, qu'il n'y a pas que ça de sexy chez lui...

A très bientôt pour la suite...